Organes: Tout Cancer - Spécialités: Immunothérapie - Vaccinothérapie
MedImmune LLC MAJ Il y a 4 ans

Étude D6020C00001 : étude de phase 1-2 randomisée visant à comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité du MEDI0680 associé au durvalumab avec le nivolumab en monothérapie chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées sélectionnées. [essai clos aux inclusions] Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancer, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Le MEDI0680 est un anticorps monoclonal humain qui cible PD-1 et qui a montré une activité antinéoplasique prometteuse. Le durvalumab (MEDI4736) est un anticorps monoclonal humain qui cible l’interaction entre PD-1 et PD-L1. Cet anticorps est capable de restaurer la fonction cytotoxique des cellules T qui est altérée dans de nombreux cancers. Ces lymphocytes T activés sont de nouveau capables de reconnaître et détruire les cellules cancéreuses. Cette immunothérapie peut être combinée avec d’autres molécules inhibitrices spécifiques pour avoir un effet antitumoral synergique. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité du MEDI0680 associé au durvalumab avec le nivolumab en monothérapie chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées sélectionnées. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du MEDI0680 selon une schéma d’escalade de dose, toutes les 2 semaines associé au durvalumab, administré également selon un schéma d’escalade de dose, toutes les 2 semaines. Les doses de MEDI0680 et de durvalumab seront progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la mieux la mieux adpatée à administrer. Les patients du 2ème groupe recevront du nivolumab en monothérapie. Les patients seront suivis pendant 1 an.

Essai clos aux inclusions

Étude AcSé-ESMART : étude de phase 1-2, de preuve de concept, évaluant l’efficacité d’un traitement basé sur la stratification des anomalies moléculaires, chez des patients jeunes ayant une tumeur réfractaire ou en rechute. Le cancer est la première cause de maladie mortelle chez les enfants et les adolescents. Le développement de nouvelles technologies d’analyse génétique permet de classer la tumeur en fonction de son profil génomique et de ses caractéristiques biologiques. Cette information permet une médecine personnalisée avec des traitements qui ciblent spécifiquement une altération moléculaire chez le patient, ce qui permet de donner à chaque patient le traitement qui va être le plus efficace pour sa tumeur. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité d’une stratification des traitements par des anomalies moléculaires chez des patients pédiatriques ayant des tumeurs récurrentes ou réfractaires. Les patients seront répartis dans plusieurs groupes. Les patients du premier groupe recevront du ribociclib associé à du topotécan et du témozolomide. Les patients du deuxième groupe recevront du ribociclib associé à de l’évérolimus. Les patients du troisième groupe recevront de l’AZD1775 associé à du carboplatine . Les patients du quatrieme groupe recevront de l’olaparib associé à de l’irinotécan . Les patients du cinquième groupe recevront de l’AZD2014 en monothérapie.* Les patients du sixième groupe recevront de l’AZD2014 associé à du topotécan et du témozolomide. Les patients du septièmegroupe recevront du nivolumab associé à du cyclophosphamide avec ou sans radiothérapie.

Essai ouvert aux inclusions
Lytix Biopharma MAJ Il y a 4 ans

Étude C12-315-03 : étude de phase 1 non-randomisée visant à évaluer la sûreté d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique et l’efficacité du LTX-315 en monothérapie ou en association avec de l’ipilimumab ou du pembrolizumab chez des patients ayant des tumeurs accessibles par voie transdermique. [essai clos aux inclusions] Le LTX-315 est le premier médicament d’une nouvelle classe d’immunothérapie qui a démontré une activité antitumorale au site d’injection et un remodelage de l’environnement de la tumeur. Le remodelage se traduit par une activation du système de défense de l’organisme notamment en augmentant le nombre de lymphocytes T, des cellules capables de détruire les cellules cancéreuses. L’objectif de cet essai est d’évaluer la sûreté d’emploi, la tolérance, la pharmacocinétique et l’efficacité du LTX-315 en monothérapie ou en association avec de l’ipilimumab ou du pembrolizumab chez des patients ayant des tumeurs accessibles par voie transdermique. Il s’agit d’une étude d’escalade de dose. Les patients seront répartis en 4 groupes selon le type de tumeur et le nombre de lésions. Les patients du premier groupe (une seule lésion ou lésion séquentielle) recevront du LTX-315 par voie transdermique 2 fois par jour pendant 3 jours puis 1 fois par semaine pendant 6 semaines puis toutes les 2 semaines. Les patients du deuxième groupe (lésions multiples concomitantes) recevront du LTX-315 par voie transdermique 1 fois par jour, 2 jours consécutifs par semaine pendant 3 semaines. Les patients du troisième groupe (mélanome) recevront du LTX-315 par voie transdermique 1 fois par jour, 2 jours consécutifs par semaine pendant 3 semaines. Ils recevront également de l’ipilimumab la première semaine puis toutes les 3 semaines pendant 4 cures. Les patients du quatrième groupe (cancer du sein triple négatif) recevront du LTX-315 par voie transdermique 1 fois par jour, 2 jours consécutifs par semaine pendant 3 semaines. Ils recevront également du pembrolizumab dans la première semaine puis toutes les 3 semaines pendant 2 ans. Les patients seront suivis pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Genentech MAJ Il y a 4 ans

Etude GO30103 : étude de phase 1a-1b visant à évaluer l’innocuité et la pharmacocinétique du MTIG7192A seul ou en association avec l’atézolizumab chez des patients ayant une tumeur localement avancée ou métastatique. [essai clos aux inclusions] Une tumeur correspond au développement d’un tissu nouvellement formé au sein d’un tissu normal. Elle peut être bénigne (non cancéreuse) ou maligne (cancer). Les cellules cancéreuses sont initialement localisées au niveau de l’organe mais peuvent se détacher et se propager à d’autres parties du corps, formant des « métastases ». Le pronostic de ce type cancer a été radicalement modifié ces dernières années notamment grâce à l’utilisation de l’immunothérapie qui consiste à utiliser des molécules qui vont stimuler les défenses immunitaires, pour qu’elles combattent les cellules cancéreuses. Le MTIG7192A et l’atézolizumab sont deux traitements d’immunothérapie. L’objectif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques du MTIG7192A administré seul ou en association avec l’atézolizumab chez des patients ayant une tumeur localement avancée ou métastatique. Les patients seront répartis en 2 groupes, et pour chacun des groupes, l’étude sera réalisée en 2 parties : une première partie visant à déterminer la dose de MTIG7192A à administrer et une deuxième partie dans le but d’étudier la sécurité, la tolérance, les paramètres pharmacocinétiques et l’efficacité primaire du MTIG7192A. Les patients du premier groupe recevront du MTIG7192A toutes les 3 semaines. Les patients du deuxième groupe recevront du MTIG7192A et de l’atézolizumab toutes les 3 semaines. Dans les 2 groupes de patients, le traitement sera répété jusqu’à la progression ou perte du bénéfice clinique. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai clos aux inclusions
Genentech MAJ Il y a 5 ans

Etude GO30103 : étude de phase 1a-1b visant à évaluer l’innocuité et la pharmacocinétique du MTIG7192A seul ou en association avec l’atézolizumab chez des patients ayant une tumeur localement avancée ou métastatique. Une tumeur correspond au développement d’un tissu nouvellement formé au sein d’un tissu normal. Elle peut être bénigne (non cancéreuse) ou maligne (cancer). Les cellules cancéreuses sont initialement localisées au niveau de l’organe mais peuvent se détacher et se propager à d’autres parties du corps, formant des « métastases ». Le pronostic de ce type cancer a été radicalement modifié ces dernières années notamment grâce à l’utilisation de l’immunothérapie qui consiste à utiliser des molécules qui vont stimuler les défenses immunitaires, pour qu’elles combattent les cellules cancéreuses. Le MTIG7192A et l’atézolizumab sont deux traitements d’immunothérapie. L’objectif de cette étude est d’évaluer les caractéristiques du MTIG7192A administré seul ou en association avec l’atézolizumab chez des patients ayant une tumeur localement avancée ou métastatique. Les patients seront répartis en 2 groupes, et pour chacun des groupes, l’étude sera réalisée en 2 parties : une première partie visant à déterminer la dose de MTIG7192A à administrer et une deuxième partie dans le but d’étudier la sécurité, la tolérance, les paramètres pharmacocinétiques et l’efficacité primaire du MTIG7192A. Les patients du premier groupe recevront du MTIG7192A toutes les 3 semaines. Les patients du deuxième groupe recevront du MTIG7192A et de l’atézolizumab toutes les 3 semaines. Dans les 2 groupes de patients, le traitement sera répété jusqu’à la progression ou perte du bénéfice clinique. Les patients seront suivis selon les procédures habituelles du centre.

Essai ouvert aux inclusions

Étude RUXBETA : étude de phase 2b randomisée visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du ruxolitinib par rapport au meilleur traitement disponible chez des patients ayant une thrombocytémie essentielle de haut risque, résistants ou intolérants à l’hydroxyurée. La thrombocytémie essentielle est un syndrome myéloprolifératif qui se caractérise par un taux de plaquettes supérieur à 500 à 600 x 109/L et elle est souvent secondaire à une autre condition. Cette maladie est liée à une anomalie de la cellule souche myéloïde mégacaryocytaire, qui est celle donnant naissance aux plaquettes. Le traitement de référence chez les patients à haut risque est l’hydroxyurée, mais il y a des patients qui sont résistants ou intolérants à ce traitement. Comme traitement de deuxième ligne après un échec de l’hydroxyurée on peut utiliser l’anagrélide (un inhibiteur plaquettaire) ou l’interféron, mais il y a une nécessité de trouver des stratégies de traitement alternatives à l’hydroxyurée efficaces pour les patients résistants ou intolérants aux traitements standards. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du ruxolitinib par rapport au meilleur traitement disponible chez des patients ayant une thrombocytémie essentielle de haut risque, résistants ou intolérants à l’hydroxyurée. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes et répartis dans chaque groupe selon le statut de résistance ou d’intolérance à l’hydroxyurée et la présence d’une mutation JAK2 V617F. Les patients du 1er groupe recevront du ruxolitinib deux fois par jour. Les patients du 2ème groupe recevront le meilleur traitement disponible en seconde ligne après l’hydroxyurée : de l’anagrélide ou de l’interféron alpha ou du PEG-interféron alpha selon la décision de l’investigateur. Les patients seront suivis pendant un minimum de 2 ans.

Essai ouvert aux inclusions

Étude RUXBETA : étude de phase 2b randomisée visant à évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du ruxolitinib par rapport au meilleur traitement disponible chez des patients ayant une thrombocytémie essentielle de haut risque, résistants ou intolérants à l’hydroxyurée. [essai clos aux inclusions] La thrombocytémie essentielle est un syndrome myéloprolifératif qui se caractérise par un taux de plaquettes supérieur à 500 à 600 x 109/L et elle est souvent secondaire à une autre condition. Cette maladie est liée à une anomalie de la cellule souche myéloïde mégacaryocytaire, qui est celle donnant naissance aux plaquettes. Le traitement de référence chez les patients à haut risque est l’hydroxyurée, mais il y a des patients qui sont résistants ou intolérants à ce traitement. Comme traitement de deuxième ligne après un échec de l’hydroxyurée on peut utiliser l’anagrélide (un inhibiteur plaquettaire) ou l’interféron, mais il y a une nécessité de trouver des stratégies de traitement alternatives à l’hydroxyurée efficaces pour les patients résistants ou intolérants aux traitements standards. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité d’emploi du ruxolitinib par rapport au meilleur traitement disponible chez des patients ayant une thrombocytémie essentielle de haut risque, résistants ou intolérants à l’hydroxyurée. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes et répartis dans chaque groupe selon le statut de résistance ou d’intolérance à l’hydroxyurée et la présence d’une mutation JAK2 V617F. Les patients du 1er groupe recevront du ruxolitinib deux fois par jour. Les patients du 2ème groupe recevront le meilleur traitement disponible en seconde ligne après l’hydroxyurée : de l’anagrélide ou de l’interféron alpha ou du PEG-interféron alpha selon la décision de l’investigateur. Les patients seront suivis pendant un minimum de 2 ans.

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MedImmune LLC MAJ Il y a 6 ans

Étude D6020C00001 : étude de phase 1-2 randomisée visant à comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité du MEDI0680 associé au durvalumab avec le nivolumab en monothérapie chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées sélectionnées. Certaines cellules cancéreuses ont la capacité d’échapper aux défenses immunitaires qui protègent l’organisme. Les immunothérapies constituent un développement majeur dans la lutte contre le cancer, car elles sont capables de stimuler et de mobiliser le système immunitaire du patient contre le cancer. Le MEDI0680 est un anticorps monoclonal humain qui cible PD-1 et qui a montré une activité antinéoplasique prometteuse. Le durvalumab (MEDI4736) est un anticorps monoclonal humain qui cible l’interaction entre PD-1 et PD-L1. Cet anticorps est capable de restaurer la fonction cytotoxique des cellules T qui est altérée dans de nombreux cancers. Ces lymphocytes T activés sont de nouveau capables de reconnaître et détruire les cellules cancéreuses. Cette immunothérapie peut être combinée avec d’autres molécules inhibitrices spécifiques pour avoir un effet antitumoral synergique. L’objectif de cette étude est de comparer la sécurité d’emploi et l’efficacité du MEDI0680 associé au durvalumab avec le nivolumab en monothérapie chez des patients ayant des tumeurs malignes avancées sélectionnées. Les patients seront répartis de façon aléatoire en 2 groupes. Les patients du 1er groupe recevront du MEDI0680 selon une schéma d’escalade de dose, toutes les 2 semaines associé au durvalumab, administré également selon un schéma d’escalade de dose, toutes les 2 semaines. Les doses de MEDI0680 et de durvalumab seront progressivement augmentée par groupe de patients afin de déterminer la mieux la mieux adpatée à administrer. Les patients du 2ème groupe recevront du nivolumab en monothérapie. Les patients seront suivis pendant 1 an.

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